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Les clés pour reconnaître un bon châssis en PVC

Vous savez déjà que les châssis en PVC sont la solution idéale pour une habitation privée, car on vous a vanté leurs atouts en termes d’étanchéité, d’isolation et de robustesse. En effet, sur le marché, pour des fenêtres de taille moyenne, il s’agit du matériau qui offre le meilleur rapport qualité/prix.

Toutefois, plusieurs gammes de châssis existent, pour des budgets plus ou moins restreints et avec une efficacité relative. Comment savoir alors si vous faites le bon choix ? Si vous voulez être sûr de vous tourner vers la solution qui répondra à toutes vos attentes, lisez attentivement les quelques points d’attention ci-dessous.

Les performances du PVC

Le PVC est une matière synthétique qui a déjà fait ses preuves à plusieurs niveaux.

Le polychlorure de vinyle est connu pour ses excellentes capacités isolantes : il vous protège des bruits extérieurs, mais aussi et surtout des écarts de chaleur.

Il est étanche, notamment de par sa nature, mais également grâce à sa composition en plusieurs chambres et à ses joints de qualité.

Le châssis en PVC est sécurisé, principalement grâce à des quincailleries de grande qualité qui garantiront la résistance face aux éventuelles tentatives de cambriolage.

Maintenant que nous avons établi en quoi le PVC est le matériau idéal pour vos nouvelles menuiseries, comment être certain d’opter pour le meilleur châssis ?

La composition de votre châssis en PVC

  • Un châssis en polymère doit être rigide et robuste. Cela assure que le PVC utilisé lors de la fabrication est de bonne facture. Il faut pour cela une structure interne en acier qui confère une ossature solide à votre profilé.
  • La menuiserie doit également se composer d’un minimum de 5 chambres. La combinaison de celles-ci fait barrage aux températures extérieures mais aussi à la condensation.
  • Le châssis doit faire environ 70 mm d’épaisseur, pour assurer non seulement sa solidité et sa durabilité, mais aussi une structure assez imposante pour accueillir un vitrage potentiellement lourd.
  • Les joints doivent être soignés, car ce sont eux qui forment la dernière barrière contre les éventuelles infiltrations. On en compte généralement 2 à 3 seulement afin de limiter les points de contact.
  • Enfin, il faut également que votre châssis soit équipé d’un vitrage isolant ou triple, au minimum double.

Les indices pour reconnaître un bon châssis

Restez vigilants quant aux indications présentes sur les châssis lorsque vous les achetez. Les produits attestés pour une mise en vente sur le marché européen disposent notamment d’un marquage CE. Cela veut dire que les autorités les ont jugés conformes à 7 exigences essentielles, parmi lesquelles l’isolation, l’étanchéité, mais aussi l’hygiène, la sécurité ou encore l’utilisation de ressources naturelles.

Si vous vous concentrez sur la sécurité, n’oubliez pas de vérifier la norme A2P (pour « Assurance Prévention Protection ») avec ses trois niveaux de résistance à l’effraction. Outre des renforts et des quincailleries en acier, une fenêtre en verre trempé ou feuilleté garantit une protection optimale.

Le prix sera également un indicatif. Les modèles d’entrée de gamme sont bien souvent très peu performants, montrant parfois des déformations, des gondolements, voire composés de joints peu résistants qui ont tendance à entraîner des déboîtements. Privilégiez alors la plus grande qualité. Les châssis qui vous font économiser sur vos factures de chauffage font d’ailleurs l’objet d’aides financières de la part des autorités.

Enfin, renseignez-vous tout de même sur les performances. Certains indices sont là pour vous aider à y voir clair, comme la valeur U.